Cathy Peiti

Pensez différemment et transformez votre vie…

Quand on agit sur ses pensées en les positivant, on devient acteur de sa vie. Par la même occasion, on entretient une meilleure santé mentale et physique. En négligeant, son corps ou son esprit, nous faisons capoter l’ensemble. Louise L. Hay est la chef de file du mouvement dit « New Age ». Décédée en 2017, ses écrits continuent à circuler. J’ai lu l’ouvrage, Transformez votre vie. Une pensée positive peut changer votre vie par curiosité et je me suis prise au jeu des exercices successifs.

Le changement nécessite du temps, des sacrifices et beaucoup de patience. C’est avec amour que l’on doit se regarder, c’est avec courage que l’on doit se délester des poids du passé et c’est avec persévérance que l’on doit avancer. Les échecs sont des apprentissages et les maladies/problèmes physiques des probables symptômes de problèmes sous-jacents. Par la pensée, nous pouvons soulager nos maux.

Malgré le propos intéressant de l’auteur dont le ton est motivant. Le listing des correspondances « bobos » et blocages intérieurs me paraît parfois réducteur. Si j’ai le cancer, c’est probablement dû à un ressentiment…Si j’ai mal là, c’est parce que je pense cela…Tout n’est pas si simple et automatique, fort heureusement. Il convient de manier avec prudence le répertoire des « observations » de consultation de Louise Hay. Y croire naïvement sans le questionner peut s’avérer dangereux. Je prône toujours une lecture « critique » des manuels de développement personnel, chacun prêche pour sa paroisse…L’Église est d’ailleurs particulièrement présente dans l’écrit.

Pour une personne qui a déjà fait un cheminement (ou qui est bien avancée), le bouquin apporte/rappelle énormément de belles choses. L’autrice nous remet au centre de notre existence et nous pousse réellement à nous libérer des chaînes du passé. Je me suis sentie dynamisée par la lecture et davantage en confiance avec moi et avec la vie. Je pense que j’apprécie surtout l’emploi de mots chaleureux, joyeux. Les textes sont simples et accessibles au lecteur lambda. Idéal pour démarrer mais ne vous sentez pas forcé de tout appliquer… Préparez-vous aussi au style décontracté et sans tabou de la consultante. La sexualité est pour elle un élément essentiel à l’épanouissement qui nous permet de soulager bien des tracas, je la rejoins sur ce point.

Référence :

Hay, L. L. (2008), Transformez votre vie. Une pensée positive peut changer votre vie, Vanves : Marabout.

A-t-on droit à une seconde chance ? Et Dieu dans tout ça ?

Sauve-moi est l’un des premiers ouvrages de Musso. Fan inconditionnelle, j’accroche plus à ses premiers romans qu’à ses dernières parutions. Dans cet opus, nous sommes sans cesse dans l’inattendu. Sam, beau médecin new-yorkais a perdu sa femme depuis peu et ne se remet pas de son suicide, elle qui attendait leur premier enfant, pourquoi ce geste ? Puis le hasard le met sur le chemin de Juliette, comédienne française désespérée, désillusionnée qui rentre au bercail sans être parvenue à percer aux USA. Ces derniers moments sur le sol américain, elle décide de les vivre en endossant l’apparence de sa colocataire avocate. Enfilant ses vêtements, elle croise Sam qui manque de l’écraser au volant de son bolide. Épuisé, il a failli commettre l’irréparable…Contre toute attente, ils terminent leur rencontre en apothéose. Autour d’un verre, ils se mentent sur leurs vies et se séduisent. Leur histoire peut-elle durer ? Convaincus du caractère éphémère de leur idylle, ils persévèrent passionnément, qu’ont-ils à perdre ? Au moment de rentrer chez elle, la Française choisissant de manquer son vol est sauvée d’un crash aérien, quelle chance…Mais l’au-delà lui permettra-t-il de rester sur terre ? Si oui, à quel prix ? Musso nous emmène après des débuts « normaux » dans une intrigue bien ficelée où je me perds en conjectures et où je me délecte des rebondissements fortuits. Si vous aimez les histoires compliquées avec les choix faciles, cette lecture ne sera pas votre tasse de thé. Si vous appréciez les questionnements existentiels et la beauté des « non » – réponses, vous serez ravi du talent de l’écrivain. Pour ma part, comme toujours, j’en retiens le CARPE DIEM. Vivons à fond nos émotions, nos moments présents même les plus infimes car ils sont les plus beaux souvenirs à emporter au paradis…S’il existe…

Référence : Musso, G. (2005), Sauve-moi, Paris : XO Éditions.

 

La retraite, repos du travailleur ou enfer de l’hyperactif ?

Je vous présente « La cerise sur le gâteau » d’Aurélie Valognes, un roman léger à découvrir en cette fin d’été. Comme à mon habitude, j’attends la sortie en version poche pour me l’offrir. Aurélie Valognes est une des autrices que j’ai découverte en 2019. Malgré les critiques mitigées de cet ouvrage, j’entame la lecture du roman enthousiaste. Bernard et Brigitte sont un couple d’une soixantaine d’années qui s’apprête à vivre « ensemble » à la retraite. C’est une cohabitation forcée qui s’annonce pour Bernard. Impossible pour un manager comme lui de se résoudre à quitter les réunions interminables et les challenges des nouveaux projets de sa boîte. Fier de son ascension, il consacre durant sa carrière peu de temps à son fils Nicolas et à ses petits enfants, Paul et Charlotte. Le contraire de Brigitte qui pensionnée s’empresse de savourer sa liberté retrouvée. Ancienne enseignante, c’est auprès des aînés dans les maisons de repos qu’elle s’active. Quand le jour J, de la mise à l’arrêt de son mari arrive, tout le monde redoute sa réaction, ses nouvelles occupations…Évidemment comme passer « du tout au rien » après une vie à cent à l’heure ? Aurélie Valognes nous décrit ce passage nécessaire avec humour. Nous observons Bernard muer en super-héros écolo d’un nouveau genre pour son petit-fils. Mais son attrait sans limite pour sa cause ne va-t-il pas nuire à sa vie de couple ? Comme notre héros gérera-t-il une vie où les objectifs à atteindre ne sont pas forcément tangibles mais relèvent du coeur ? Parviendra-t-il à comprendre ce que le vrai bonheur signifie ? Pour tous ceux qui craignent la fin d’une existence professionnelle et l’entrée méritée au repos béni du guerrier salarié, se confronter au cheminement de Bernard peut s’avérer inspirant. Pour ma part, depuis quelques années déjà, j’ai renoncé à « grimper » dans la société car ce n’est pas là, pour moi, qu’on y reçoit le plus beau des trophées…

Référence : Valognes, A.(2019), La cerise sur le gâteau, Paris : Fayard/Mazarine.

« Vivre sans hommes, mythe ou réalité ? »

C’est le questionnement lancé par Karine Lambert dans son livre : « L’immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes ». Giuseppina, Carla, Lucette (La Reine), Simone et Rosalie vivent ensemble dans un immeuble parisien. Chacune pour des raisons diverses a renoncé au sexe opposé. Quand Juliette, une petite nouvelle vient remplacer temporairement Carla partie en voyage, c’est toute la petite tribu qui est bouleversée. La jeune femme ne compte pas abandonner l’amour…Certes, elle en souffre parfois mais en rêve aussi, souvent. Les jugements parfois radicaux de ses comparses interdisant aux hommes de franchir l’entrée l’interpellent. Mais sont-ils si nocifs, nos tendres moitiés ? Au fil du récit, Juliette accumule les rencontres décevantes et finit par désespérer. Ses ainées ont-elles raison ? Lassée, elle profite de ce nouveau lieu de vie, s’accommode des dimanches pantouflards et des discussions entre filles. Oubliera-t-elle définitivement ses espoirs d’une vie à deux épanouissante ? Vous le découvrirez en lisant…J’ai aimé la légèreté de l’ouvrage, l’auteur nous dépeint des portraits réalistes de femmes modernes. Dépitées face à un mâle dur à dompter ou peu respectueux, elles vivent en solitaire ou en groupe. Ce qui compte c’est la solidarité face à l’adversité. Si bannir la vie de couple est un comportement extrémiste, la solitude et l’isolement peut faire du bien et nous permettre une meilleure fusion avec notre partenaire. Et puis la vie n’est jamais un long fleuve tranquille ! Le principal c’est d’être heureuse, peu importe le mode de vie choisi…

Référence : Lambert, K. (2015), L’immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes, Paris : Le Livre de Poche.

« Le plus bel endroit du monde est ici… <3 » de Frances Miralles et Care Santos.

Cette découverte littéraire, je l’ai faite grâce à une boite à livres à proximité de mon domicile. Je me balade souvent pour m’aérer et je glane de l’inspiration pour mes écrits ou mes productions artistiques. Cet ouvrage nous relate l’histoire apparemment banale d’une trentenaire mal dans sa peau. Iris, 36 ans, vient de perdre ses parents et vit seule dans leur appartement. Déprimée, elle erre dans le passé, sort peu et les amis sont rares. Désespérée et sur le point de commettre l’irréparable, vous le lirez, elle est sauvée par le destin. Sonnée, elle pénètre dans un café inattendu : « Le plus bel endroit du monde est ici… ».  Le tenancier est présenté comme un magicien et les habitués l’intriguent, elle ne reconnaît personne. Malgré l’atmosphère originale du lieu, elle y revient régulièrement par la suite. Elle y rencontre Luca, ce bel étalon italien, plus que mystérieux. Impénétrable, il lui distille des leçons de vie à chaque rendez-vous. Amoureuse, elle s’imagine aux côtés d’un homme galant hors du temps. Mais est-il réellement celui qu’il prétend ? Et si les anges existaient pour vous permettre de vous délier du passé ? Est-ce bien la réalité ou son quotidien n’est-il que fiction ? De belles surprises vous attendent page après page. Dubitative au début, je suis envahie d’émotions à la fin, surprise par le destin…

Référence : Miralles, F., Santos, C. (2008, 2010 pour la traduction FR), Le plus bel endroit du monde est ici, Paris : Fleuve Noir (depuis 2012, Fleuves Éditions).

« Plus sa tête mais tout son cœur… »

Dans son ouvrage court et percutant « Alzheimer, accompagner ceux qu’on aime. (et les autres) », Colette Roumanoff nous livre une analyse d’« aidante-experte », juste et riche. Dédramatisant la pathologie de son mari défunt, elle enseigne comment vivre « avec » sans perdre sa joie et son entrain car c’est justement par l’humour que la communication avec le patient sera la meilleure. Hypersensibles, ces proches atteints demandent à être rassurés, aimés. L’affection donnée vous la recevez en retour puissance mille…Au fil de la lecture, vous apprendrez les gestes simplissimes pour éviter de belles catastrophes. Evitez par exemple de répondre aux questions répétitives, favorisez l’observation et analysez tout pour trouver la cause du stress.  Au quotidien, il importe de ne pas « franchir la ligne jaune », ne les mettez pas en échec, ne les infantilisez pas, bannissez les gestes brusques, musclez votre patience et votre tolérance. La progression du mal va de pair avec une régression en enfance et un « désapprentissage » inéluctable qu’il nous est parfois compliqué d’autoriser. Mais l’amour doit être plus fort que la peine. Jouissez des contacts encore privilégiés avec eux, car contrairement à d’autres, vous avez l’immense chance de les avoir sur terre (encore là) auprès de vous…

Référence : Roumanoff, C. (2017), Alzheimer. Accompagner ceux qu’on aime (et les autres), Paris : Éditions J’ai lu. 3 euros seulement…

« Amour, turbulences et espace. Le voyage trépidant de deux adolescents. »

Je tombe par hasard sur cet ouvrage dans les affaires de mon compagnon. Le livre a vécu mais le titre m’incite à l’ouvrir : « Les soleils de Bali. », une invitation au voyage dont on manque tant cet été en bon confiné…Ce roman de Danielle Martinigol est une intrigue de science-fiction intéressante dont les héroïnes sont deux adolescents/jeunes adultes. A Bali, secrètement, des chercheurs étudient des plantes transgéniques dans l’optique de bâtir une base sur Mars. Quand l’un des chercheurs, Thierry Pournant disparaît avec des éléments importants, il est soupçonné de trahison. Bourrault, le chef de la Sûreté engage le jeune Méric, passionné de la sauvegarde des découvertes scientifiques pour suivre Albane Pournant, la sœur du fugitif. C’est à Bali que le duo se retrouve embarqué sur les traces du disparu. Ils mènent finalement l’enquête ensemble sur une moto futuriste pilotée par le fougueux enquêteur en herbe. Vers quoi cette aventure les mènera-t-elle ? Thierry est-il coupable ou innocent ? Les péripéties de nos héros nous accrochent au fil de la lecture, mais attention à ne pas perdre le fil. Les nombreux épisodes sèment parfois la confusion dans l’esprit du lecteur. Malgré tout, j’ai pris un bol d’air indonésien qui m’a fait du bien. Avec ce récit, je sors un peu de mes lectures ‘feelgood’ habituelles mais l’irréel me rappelle ma période « Harry Potter. ». Je suis finalement vite retombée dans les émois adolescents en me décentrant d’un quotidien pour l’instant moins apaisant. N’hésitez donc pas à tester…

Référence :

Martinigol, D. (2002), Les soleils de Bali, Vanves : Le Livre de Poche Jeunesse.

« Enfanter, c’est changer…pour le meilleur et pour le pire.»

Bridget Jones, célèbre depuis la parution de son « Journal » en 1998, est la célibataire britannique à laquelle de nombreuses jeunes femmes se sont identifiées durant les années 2000. Un peu boulotte, accumulant les frasques les plus hilarantes les unes que les autres, Bridget, héroïne de roman, est attachante. Quotidiennement aux prises avec ses multiples défis, elle jongle dans ce livre entre son job de productrice, ses amis « célibattants », ses proches « parents » et sa propre vie amoureuse frôlant le néant. Les années passent et après des échecs cuisants, elle se laisse porter…A près de quarante ans, elle finit par retomber dans les filets de ses exs, les éternels rivaux : Mark et Daniel. Après des nuits de folie auprès de chacun d’eux, elle découvre sa future maternité…Mais c’est le doute ? Qui est le père ? J’ai vu les films mais la lecture de l’écrit est prenante, facile et rapide. Je vogue au fil des jours (des heures parfois) dans les méandres de son esprit. Que dire ? Juste que la fin vous réserve des surprises…Les engagements du début seront-ils tenus ? Comme toutes les futures mamans (en devenir réel ou abstrait), les craintes sont grandes de ne pas être à la hauteur mais l’amour porté au « micro-être » grandissant en vous est incommensurable…Une graine de vie amenée à éclore au bout de neuf longs et beaux mois…

Référence :

Fielding, H., (2016), Bridget Jones Baby, Londres : Jonathan Cape, Penguin Random House. Pour la traduction française en 2016 : Editions Albin Michel. Paris.

« Avant d’être deux, il faut être pleinement soi. »

« Cupidon a des ailes en carton » de Raphaëlle Giordano est mon coup de cœur de l’été. J’ai adoré l’histoire de Meredith, cette jeune comédienne pleine de fougue et de questionnements. L’héroïne voulant se réaliser par elle-même affronte ses peurs. Prête à tout pour trouver les clés d’un amour qui dure, elle s’apprête à prendre le risque d’ « assassiner son histoire avec Antoine » (p.56).  Elle ne veut pas réitérer le modèle parental, l’étincelle des premiers baisers, elle veut la conserver. Un jour, elle annonce à son Jules, l’inévitable : s’éloigner de lui pendant 6 mois pour se réaliser.  Antoine réussit brillamment une carrière. Il peut lui offrir le moindre de ses désirs mais accepte la mise en danger de leur conte de fées. Incapable de la lâcher entièrement, il s’assure à distance que les expériences de sa chérie réussissent et qu’elle lui revienne vite. Mauvais calcul…

Embarquée avec Rose, sa complice, Meredith entame donc pour évoluer une tournée. En parallèle, elle travaille son « Love Tour » personnel. Son cheminement vers l’ « amourability » est ponctué de tendres rencontres qui lui permettent de consigner d’abondantes notes dans son carnet. Je suis surprise au fil des pages de la tournure imprévisible du récit. J’aime l’incertitude et Raphaëlle Giordano nous pousse à lire jusqu’au bout. Je ne dévoile donc rien…Sachez que ce livre propose également du contenu intéressant. Il coache notre capacité à ajuster nos comportements pour atteindre une harmonie de couple. L’ « amourability » suppose qu’il nous est possible de « mieux » aimer en modifiant sa relation à soi, à l’autre et au monde…Avant d’être « deux », il faut être en accord avec soi-même. Se connaître et suffisamment se choyer est essentiel. La femme ou l’homme doit trouver un équilibre entre son partenaire, lui-même et son environnement. Nous sommes parfois impatients mais ne luttons pas contre le destin…Tout vient à point à qui sait attendre à condition de croire en soi et de se laisser guider par son intuition.

Un challenge pour moi aussi. Un jour à la fois…

Référence : Giordano, R., (2019), Cupidon a des ailes en carton, Paris : Plon.

Masque pour cheveux secs au miel

Ingrédients et matériel :
– Miel
– Huile d’olive
– Jaune d’œuf
– Bol
– Spatule pour mélanger
– Pinceau (idéalement de coiffeur) pour appliquer le produit sur la masse. A acheter en magasin spécialisé

Recette pour une portion :

Mélangez 2 cuillères à soupe de miel avec 4 cuillères à soupe d’huile d’olive et un jaune d’œuf.
Coiffez vos cheveux (secs) et appliquez le mix sur la chevelure. Pour des longs cheveux, doublez les quantités. Laissez poser 20 minutes. Puis rinçage et utilisation du shampoing normal. J’ai pour ma part ajouté du spray démêlant maison aux flocons d’avoine sur mes cheveux (excellent !).
Le résultat :
Des cheveux légèrement éclaircis (ils étaient décolorés en blond à la base – mèches). Le masque étant sucré, il ne se répartit pas facilement. C’est également surprenant de le faire sur cheveux secs avant le shampoing. Heureusement que j’avais mon démêlant bio sous la main car ma chevelure était très emmêlée après.

Une source :
Ouibrahim C. (2018), 4 masques naturels pour sublimer vos cheveux secs, consulté le 9 juillet 2020 sur https://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/36093/4-masques-naturels-sublimer-cheveux-secs

Démêlant aux flocons d’avoine

Ingrédients et matériel :
– Flocons d’avoine
– Eau
– Bol
– Flacon de spray (voir chez Action notamment pour en acheter parfois il y en a de petits).

J’ai essayé une recette de démêlant naturel et je vous la conseille.  Si vous mangez déjà des flocons d’avoine en plus c’est une aubaine et une économie….Recouvrez vos flocons d’eau, laissez gonfler deux heures puis mélangez ! La dernière étape consiste à filtrer le produit avec une passoire puis à le verser dans un flacon de spray. Tenue : une semaine au frigo. Conseil : mettez la date dessus au marqueur permanent. On peut s’asperger du mélange sans rincer après avoir lavé ses cheveux ou entre-temps. Le passage de la brosse est ensuite plus indolore et l’exercice ne prend plus les allures d’une corvée ! À vous de tester…

Une source :
Guittat S. (2019), Ma recette de démêlant cheveux aux flocons d’avoine sans rinçage, consulté le 9 juillet 2020 sur https://www.mieux-vivre-autrement.com/ma-recette-de-demelant-pour-cheveux-aux-flocons-davoine-sans-rincage.html

« Martine a un papi bizarre »

Voici une petite BD que j’ai découverte avec plaisir en 2019. A l’occasion de la journée mondiale de la maladie d’Alzheimer le 21 septembre dernier, la Ligue Nationale Alzheimer décide de lancer campagne subtile. Si vous êtes parent et que vous êtes amenés à expliquer à votre enfant la maladie, au travers cette histoire courte et facile à conter au coucher, votre bout de chou apprend en découvrant de beaux dessins. La démence n’est pas contagieuse. Cette pathologie transforme l’individu qui parfois régresse à des stades enfantins et oublie des événements importants ou anodins. Appréhender les changements de comportement chez leur proche malade est important pour les petits. Parler, évoquer, expliquer calmement avec des mots adéquats les rassurent et les fait évoluer. Cet outil est également un dispositif pédagogique intéressant. Pour ma part, les aventures de Martine évoquent clairement mon enfance, c’est une collection de supports joliment illustrés qui a longtemps retracé les évolutions sociétales. Le prix de cette édition spéciale (en FR et en NL) vaut également le détour : 6 euros. Site de la campagne : https://tiny-alzheimer.be

Crédit photo : Ligue Nationale Alzheimer et Casterman. Source d’où a été reprise la photo : Schraûwen, J. (5 octobre 2019), Littérature jeunesse : Martine a un papi bizarre – l’enfance confrontée à la maladie d’Alzheimer !, consulté le 3 juillet 2020 sur https://www.rtbf.be/info/medias/detail_litterature-jeunesse-martine-a-un-papi-bizarre-l-enfance-confrontee-a-la-maladie-d-alzheimer?id=10332633

Référence : Delahaye, G., Marlier, M., (2019). Martine a un papi bizarre (édition spéciale), Bruxelles : Casterman avec le soutien de la Loterie Nationale.