« Enfanter, c’est changer…pour le meilleur et pour le pire.»

Bridget Jones, célèbre depuis la parution de son « Journal » en 1998, est la célibataire britannique à laquelle de nombreuses jeunes femmes se sont identifiées durant les années 2000. Un peu boulotte, accumulant les frasques les plus hilarantes les unes que les autres, Bridget, héroïne de roman, est attachante. Quotidiennement aux prises avec ses multiples défis, elle jongle dans ce livre entre son job de productrice, ses amis « célibattants », ses proches « parents » et sa propre vie amoureuse frôlant le néant. Les années passent et après des échecs cuisants, elle se laisse porter…A près de quarante ans, elle finit par retomber dans les filets de ses exs, les éternels rivaux : Mark et Daniel. Après des nuits de folie auprès de chacun d’eux, elle découvre sa future maternité…Mais c’est le doute ? Qui est le père ? J’ai vu les films mais la lecture de l’écrit est prenante, facile et rapide. Je vogue au fil des jours (des heures parfois) dans les méandres de son esprit. Que dire ? Juste que la fin vous réserve des surprises…Les engagements du début seront-ils tenus ? Comme toutes les futures mamans (en devenir réel ou abstrait), les craintes sont grandes de ne pas être à la hauteur mais l’amour porté au « micro-être » grandissant en vous est incommensurable…Une graine de vie amenée à éclore au bout de neuf longs et beaux mois…

Référence :

Fielding, H., (2016), Bridget Jones Baby, Londres : Jonathan Cape, Penguin Random House. Pour la traduction française en 2016 : Editions Albin Michel. Paris.

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