En dé-confinement : Le #NOBRACHALLENGE, si Gaga et Rihanna sautent le pas, pourquoi pas moi ?

La vague « anti-soutien » fleurit sur les réseaux sociaux. Les femmes poursuivent une révolution de girls confinées mais libérées du port du soutard. « Laissons nos nibards respirer et balloter » diraient certaines…Pour d’autres, impossible de se débarrasser de cette contrainte sociale. « Si j’oublie mon soutien-gorge en hiver, mes seins pointent et c’est gênant. » Effectivement, pour le sport et le boulot, ce n’est pas rigolo, de vivre « délivrée », mais chez soi n’est-ce pas une opportunité de se relâcher ? Tous les scientifiques ne sont pas contre…

Mais qui a eu cette idée folle d’inventer cet objet de torture avec armature ? C’est à Mary Phelps Jacob que l’on devrait en 1914, la création du premier prototype de soutien-gorge avec bonnets. Le modèle a ensuite évolué. Dans les années 50, c’est un élément essentiel pour être une pin-up hors du commun. On choisit le soutif pigeonnant. Dans les années 60, c’est tendance « push-up », je gonfle sans passer par billard. Avec mai 68, dans la décennie suivante, on jette l’accessoire au bac. De nos jours, on en achète à tous les prix et dans toutes les tailles.  Et vous c’est quoi votre option ? Vous l’aimez le porter un peu, beaucoup, pas du tout ? 🙂

Sources :
Chan, E. (2020), « No-Bra » : on vous dit pourquoi l’adopter pendant et post-confinement, consulté le 14 mai 2020 sur https://www.mariefrance.fr/equilibre/no-bra-on-vous-dit-pourquoi-ladopter-pendant-et-post-confinement-476704.html#item=1
Descheneaux, N. (2013), Petite histoire du soutien-gorge, consulté le 14 mai 2020 sur https://www.canalvie.com/sante-beaute/mode-et-beaute/histoire-soutien-gorge-1.1497529

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